Soyons honnêtes, les réseaux sociaux restent une des façons les plus simples et rapides de gagner en visibilité. Mais ce n’est pas la seule. Et surtout, ce n’est pas une obligation.

En 2025, il est tout à fait possible de bâtir une stratégie marketing efficace sans devoir te filmer en train de danser dans ta salle de conférence pour rester dans l’algorithme.

Est-ce que c’est faisable? Oui. Et je vais te montrer comment.

Pourquoi certaines PME veulent réduire leur présence sur les réseaux sociaux en 2025?

Avant de plonger dans les alternatives, mettons les choses au clair: les réseaux sociaux demeurent, en 2025, l’un des outils les plus efficaces pour se faire connaître. Leur portée, leur flexibilité et leur potentiel de conversion sont indéniables.

Mais malgré tout ça, certaines PME choisissent de ralentir, de réduire leur présence ou carrément de prendre un virage différent. Pas parce qu’elles pensent que ça ne fonctionne pas, mais parce que ça ne fonctionne plus pour elles.

Voici pourquoi:

Parce que ça demande beaucoup (trop) d’énergie
Créer du contenu chaque semaine, suivre les tendances, rester visible malgré l’algorithme… Ça peut devenir épuisant, surtout quand on gère déjà tout le reste de l’entreprise.

Parce que ce n’est pas toujours adapté à leur clientèle
Certaines entreprises ciblent une clientèle qui n’est pas très active sur les réseaux sociaux ou qui préfère d’autres canaux: recherche Google, infolettre, références, contact humain.

Parce que ça finit par coûter cher
Même si les plateformes sont gratuites, le temps, les outils, la création de contenu et les pubs… ça finit par gruger un bon bout du budget et de la patience.

Et parfois, c’est une question de valeurs
Certaines entreprises veulent simplement moins contribuer à la course à l’attention, à l’hyperconnectivité ou à la collecte de données. Elles cherchent des façons de faire du marketing plus humaines, plus alignées avec leurs convictions.

Bref, il ne s’agit pas de dire que les réseaux sociaux sont mauvais. Il s’agit de reconnaître que ce n’est pas la seule voie possible. Et si vous cherchez à reprendre un peu de contrôle sur votre marketing, sans dépendre à 100 % des likes, ce qui suit pourrait bien vous inspirer.

6 façons concrètes de faire du marketing sans réseaux sociaux

1. Miser sur le référencement local Google

Quand un client potentiel cherche tes services, il va sur le Web et c’est souvent Google qu’il consulte en premier.

Ce que tu peux faire:

Pourquoi ça fonctionne: Parce qu’un bon profil d’entreprise Google te met en haut des résultats, sans payer de pub.

2. Envoyer une infolettre (oui, c’est encore très pertinant)

L’infolettre, c’est un canal direct, sans intermédiaire, sans algorithme.

Ce que tu peux faire:

  • Créer une liste d’abonnés (même petite, elle est précieuse)

  • Partager des nouvelles, des conseils ou des offres adaptées à chaque type de client grâce à la segmentation

  • Maintenir un lien régulier, mais pas envahissant

Pourquoi ça fonctionne: Parce que tu parles à des gens qui veulent vraiment te lire. Et ça, ça vaut de l’or.

3. Sortir et réseauter dans le vrai monde

Même en 2025, les relations humaines ont encore une énorme valeur. Et souvent, une poignée de main vaut mieux qu’une publication.

Ce que tu peux faire:

  • Participer à des événements d’affaires locaux

  • Se joindre à la Chambre de commerce de ta région

  • Organiser des petits déjeuners, ateliers, conférences

Pourquoi ça fonctionne: Parce que les connexions réelles mènent à des collaborations, des références, et du bouche-à-oreille solide.

4. Activer le bouche-à-oreille et le propulser

Un client satisfait est ton meilleur agent marketing.

Ce que tu peux faire:

  • Offrir une expérience client mémorable

  • Mettre en place un programme de référencement

  • Demander un avis ou un témoignage après chaque vente ou service

Pourquoi ça fonctionne: Parce qu’on fait naturellement confiance à l’opinion des autres (surtout ceux qu’on connaît).

5. Créer des partenariats locaux

Pourquoi jouer en solo quand tu peux t’allier à d’autres PME qui ont la même clientèle?

Ce que tu peux faire:

  • S’associer avec des commerces complémentaires

  • Créer des offres croisées ou des événements communs

  • Partager des ressources ou du contenu ensemble

Pourquoi ça fonctionne: Parce que tu double (ou triple!) ta visibilité… sans doubler le budget.

6. Participer à des événements et être visible sur le terrain

Le marketing terrain n’est pas mort. Loin de là.

Ce que tu peux faire:

  • Avoir une présence dans les marchés publics, foires commerciales, salons

  • Organiser des événements maison: portes ouvertes, ateliers, dégustations

  • Rendre chaque interaction inoubliable

Pourquoi ça fonctionne: Parce que les gens se souviennent de ce qu’ils vivent, pas juste de ce qu’ils scrollent.

Quelques exemples de PME québécoises qui pourraient briller sans réseaux sociaux

Salon de coiffure Chantal à Drummondville

Fiche Google optimisée, infolettre simple, expérience client irréprochable. Résultat: agenda toujours plein.

Électro-Mario à Val-d’Or

Pas de réseaux, mais un site bien référencé, un réseau de partenaires solides, et beaucoup de clients satisfaits qui en parlent autour d’eux.

Fromagerie du Coin à Montmagny

Dégustations sur place, présence dans les événements locaux, partenariats avec des restaurateurs. On parle d’eux… même sans Instagram.

Les limites à garder en tête avant de changer d’approche

Il ne faut pas se raconter d’histoires.

⚠️ Tu auras moins de visibilité rapide
⚠️ L’interaction instantanée avec la clientèle est plus limitée
⚠️ Ça demande plus d’investissement de temps au début

Mais :
✅ Tu gardes le contrôle
✅ Tu bâtis une base solide
✅ Tu développes une notoriété durable

Tu as envie de réduire un peu ta dépendance aux réseaux sociaux?

Pas nécessairement pour tout quitter, mais juste pour diversifier tes canaux et retrouver un peu plus de contrôle (et de calme).

Je ne te dis pas de tout supprimer. Juste de considérer un marketing plus humain, plus local, plus stratégique — un marketing qui te ressemble, et qui ne dépend pas uniquement d’un algorithme changeant.

Les avis clients sont devenus un levier essentiel pour attirer de nouveaux clients et améliorer votre crédibilité. Mais comment les obtenir sans passer pour un marchand de tapis ou harceler vos clients?

On vous donne les meilleures stratégies (éprouvées en 2025) pour collecter des avis… sans effort (ou presque).

Pourquoi les avis clients sont-ils plus importants que jamais en 2025?

Parce qu’en 2025, on ne croit plus les belles promesses marketing. On veut du réel, du concret, du vécu.

  • 93 % des consommateurs lisent les avis en ligne avant de faire un achat ou choisir un service. (Oui, c’est presque tout le monde.)
  • Les avis influencent le référencement sur Google: plus vous avez d’avis, plus votre entreprise ressort dans les résultats de recherche.
  • Un bon avis peut convaincre un client hésitant bien plus efficacement que n’importe quelle pub payante.

Bref, pas d’avis? Pas de clients.

Simplifiez au maximum le processus

Si vous voulez des avis, il faut que ce soit ultra simple pour vos clients. La règle d’or : moins il y a d’étapes, plus vous aurez d’avis.

Astuces pour faciliter la tâche :

  • Envoyez un lien direct vers la page d’avis Google ou Facebook après chaque achat/service.
  • Affichez un code QR en boutique, sur les factures ou les emballages.
  • Automatisez un courriel ou un texto demandant un avis après une transaction.

🛑 Ce qu’il ne faut PAS faire : demander aux clients d’aller « chercher votre entreprise sur Google » et de « trouver où laisser un avis ». Personne ne fera l’effort.

Demandez un avis… au bon moment!

Un client satisfait veut bien donner un avis, mais il n’y pense pas. À vous de choisir le bon moment pour lui rappeler gentiment.

Quand demander un avis?

  • Juste après un achat ou une prestation réussie.
  • Après une interaction positive avec votre service client.
  • Quand un client vous envoie un message pour dire qu’il est satisfait.

Trop tôt = ça passe inaperçu. Trop tard = ils ont oublié.

Offrez un petit « push » incitatif (sans tricher)

Les gens aiment être récompensés. Un léger incitatif peut les motiver à prendre 2 minutes pour écrire un avis.

Ce qui est PERMIS :

  • Un code promo ou un rabais futur.
  • Un concours où chaque avis donne une participation.
  • Un cadeau symbolique (ex. : un café gratuit, un ebook, un accès à du contenu exclusif).

Ce qui est INTERDIT (et risqué) :

❌ Acheter des avis (ça se voit et Google peut vous pénaliser sévèrement).
❌ Exiger un avis positif (c’est louche et contraire aux règles des plateformes).

Répondez à TOUS les avis (oui, même les mauvais!)

Obtenir des avis, c’est bien. Les gérer, c’est encore mieux.

Pourquoi répondre aux avis?

  • Ça montre que vous prenez vos clients au sérieux.
  • Ça améliore votre image de marque et rassure les futurs clients.
  • Ça peut transformer un avis neutre en un avis hyper positif.

Et les mauvais avis?
Surtout, ne les ignorez pas. Une réponse professionnelle et empathique peut limiter les dégâts et parfois même retourner la situation à votre avantage.

Exemple de réponse à un avis négatif :
« Merci pour votre retour! Nous sommes désolés que votre expérience n’ait pas été à la hauteur de vos attentes. Contactez-nous en privé, on aimerait rectifier ça! »

Utilisez les réseaux sociaux pour collecter des avis

Les clients aiment s’exprimer sur les réseaux, alors facilitez-leur la tâche!

Astuces médias sociaux :

  • Faites une publication invitant à laisser un avis (avec un lien direct vers Google Avis ou Facebook).
  • Mettez en avant les meilleurs avis en stories ou en publications pour donner envie aux autres d’en laisser aussi.
  • Faites des sondages et demandez un retour en commentaire : les gens adorent donner leur opinion!

Récupérez les avis clients hors ligne

Tous les avis ne sont pas sur le Web. Beaucoup de clients vous font des retours par courriel, en personne ou par téléphone.

Ne les laissez pas se perdre!

Demandez-leur gentiment : « Ça vous dérangerait de partager votre avis sur Google ou Facebook? Ça nous aide énormément! »

Astuce : proposez même de rédiger un résumé pour eux, qu’ils n’auront plus qu’à copier-coller!

Affichez vos avis partout (et faites-en un atout marketing!)

Les avis clients, c’est de l’or en barre. Une fois que vous en avez, servez-vous-en!

Où afficher vos avis?

  • Sur votre site Web (page d’accueil, page « témoignages », fiche produit…).
  • Dans vos infolettres pour rassurer les prospects.
  • Sur vos publicités et brochures.
  • En signature de courriel.

Les avis = la meilleure preuve sociale pour convaincre les indécis.

meilleure façon d’obtenir des avis clients, 5 étoiles avis google.

Et vous, comment gérez-vous les avis clients?

Vous avez déjà testé certaines de ces stratégies? Vous avez d’autres astuces? Partagez-les en commentaire! Vous avez besoin d’aide avec certaines de ces astuces? On est là pour aider.

Partagez cet article avec un entrepreneur qui a de la misère à obtenir des avis!

Facebook, c’est comme louer un local dans un centre commercial

Imaginez que vous ouvrez un petit café dans un centre commercial hyper populaire. Beaucoup de gens passent devant votre vitrine, vous avez de la visibilité, mais… :

  • vous ne contrôlez pas les règles du jeu. Facebook peut modifier son algorithme du jour au lendemain, et pouf! Votre page devient invisible;
  • vous êtes en concurrence avec une tonne d’autres commerces qui essaient aussi d’attirer l’attention;
  • si Facebook décide de fermer votre page ou de bloquer votre compte (eh oui, ça arrive!), vous perdez tout;

Un site Web, c’est comme avoir votre propre local. Vous en faites ce que vous voulez, sans craindre qu’un changement de politique vous mette dans le pétrin.

Un site Web, c’est votre carte de visite 24/7

Quand quelqu’un tape le nom de votre entreprise sur Google, il s’attend à tomber sur un site professionnel, pas juste sur une page Facebook.

Avec un site, vous pouvez :

  • afficher vos services de manière claire et structurée;
  • offrir une meilleure expérience utilisateur sans distractions;
  • montrer que vous êtes une entreprise sérieuse (parce que oui, en 2025, ne pas avoir de site, ça peut sembler louche!).

Une page Facebook est une vitrine. Un site Web est une expérience complète où vous contrôlez l’image et le message.

Google vs Facebook : qui veut vraiment vous aider?

Un autre point crucial : le référencement (SEO).

Avec une page Facebook :

❌ vous n’apparaissez pas en haut des résultats de recherche sur Google;
❌ les gens doivent aller sur Facebook pour vous trouver (et s’ils n’ont pas de compte? 😬);
❌ vos publications disparaissent rapidement dans le fil d’actualité.

Avec un site Web optimisé :

✅ vous avez une vraie présence sur Google;
✅ vous attirez des visiteurs qui cherchent VOS services, même s’ils ne vous connaissent pas encore;
✅ votre contenu reste en ligne et accessible en tout temps.

En gros, Facebook vous emprisonne sur sa plateforme, tandis qu’un site Web vous donne la liberté d’exister ailleurs.

Un site Web, ça peut être simple et évolutif!

Beaucoup d’entrepreneurs hésitent à créer un site Web parce qu’ils imaginent tout de suite une usine à gaz avec plein de pages, des fonctionnalités complexes et un prix exorbitant.

Mais voici la bonne nouvelle : vous pouvez commencer avec un site ultra simple.

Un mini-site d’une seule page peut suffire au départ, avec :
– un résumé de vos services;
– vos coordonnées et un formulaire de contact;
– quelques avis clients pour la crédibilité;
– un lien vers vos réseaux sociaux.

Et ensuite? Quand votre entreprise grandit, votre site grandit avec vous! Vous pouvez ajouter des pages, un blogue, une boutique en ligne… sans faire exploser votre budget dès le départ.

Mieux vaut un petit site Web efficace qu’aucun site du tout.

Une stratégie gagnante : combiner les deux

Alors, faut-il jeter votre page Facebook à la poubelle? Pas du tout!
Mais elle doit être un complément à votre site Web, pas un remplacement.

L’idéal :
– Utiliser Facebook pour interagir avec votre communauté, publier des nouveautés et attirer du trafic vers votre site.
– Avoir un site Web bien construit pour donner une image pro et convertir vos visiteurs en clients.

Petit truc : ajoutez un lien vers votre site Web dans votre bio Facebook et dans chaque publication pour maximiser votre impact!

Faut-il absolument avoir un site Web ou est-ce que ma page Facebook suffit?

Et vous, vous en pensez quoi?

Votre entreprise tourne uniquement avec Facebook? Vous hésitez à créer un site? Venez en discuter dans les commentaires! Et si vous avez besoin d’un coup de main pour bâtir votre présence en ligne, on a des experts qui peuvent vous aider. 😉

C’est là qu’intervient LA landing page, cet outil incontournable du marketing digital qui transforme un trafic qualifié en clients fidèles. Une page d’atterrissage optimisée est la clé pour augmenter son taux de conversion, générer plus de leads et booster son RCI (ROI Return On Investments).

Voyons ensemble comment créer une landing page efficace pourrait faire décoller ton entreprise.

1. C’est quoi une landing page et pourquoi ça change la donne?

Une landing page (ou page d’atterrissage), c’est une page Web conçue pour une seule mission : convertir. Contrairement à une page d’accueil, qui doit tout montrer (votre histoire, vos services, vos valeurs, votre chat mascotte), la landing page est ultra ciblée et épurée.

Son objectif unique peut être de :

  • Faire télécharger un e-book gratuit pour récupérer des courriels;
  • Inscrire des gens à une infolettre (comme celle-ci, hein);
  • Faire tester un produit ou service;
  • Vendre une offre précise, sans distractions.

Pourquoi c’est indispensable?

  • Les entreprises qui utilisent des landing pages obtiennent 55 % de leads en plus qu’avec des pages classiques (source : HubSpot).
  • Une bonne landing page peut augmenter vos conversions de 300 % (source : Unbounce).

Pas mal, non?

2. Les ingrédients d’une landing page qui convertit

Si vous voulez que votre landing page transforme, il y a quelques règles d’or à respecter. Voici la recette magique :

a) Un titre accrocheur

Votre visiteur doit comprendre immédiatement ce que vous lui offrez et pourquoi il en a besoin. Exemple :

« Multipliez vos ventes par 3 grâce à cette méthode (testée et approuvée) »
« Téléchargez votre guide GRATUIT pour (insérer avantage irrésistible) »

b) Un visuel qui attire l’œil

Une image vaut mille mots, mais une mauvaise image peut tuer une conversion. Privilégiez :

  • des visuels pros et engageants;
  • des vidéos explicatives courtes (augmentent les conversions de 86 %).

c) Un appel à l’action (CTA) irrésistible

Votre bouton CTA doit être visible immédiatement et donner envie d’agir :

🔴 Mauvais : « Envoyer » (ennuyeux et vague);
🟢 Bon : « Oui, je veux mon guide gratuit! »/« Je réserve ma place maintenant ».

d) Une mise en page ultra épurée

Trop d’info tue l’info. Une bonne landing page doit être minimaliste et efficace. Un seul message, une seule action.

e) La preuve sociale : vos meilleurs arguments de vente

Les gens font confiance aux autres (surtout à ceux qui ont déjà testé votre offre). Ajoutez des :

  • témoignages clients (avec photo pour plus d’impact);
  • statistiques de réussite (ex. : « 94 % de nos utilisateurs ont vu leurs ventes augmenter. »);
  • logos d’entreprises clientes pour rassurer les prospects.

3. Les pièges à éviter (et qui ruinent vos conversions)

🚫 Trop de distractions : menus, liens inutiles, pubs… tout ce qui détourne l’attention du visiteur est un frein à la conversion.

🚫 Une offre floue : si votre visiteur ne comprend pas immédiatement ce que vous proposez, il partira.

🚫 Une page non optimisée pour mobile : plus de 60 % des visites viennent du mobile (source : Statista). Si votre page met 3 ans à charger, c’est mort.

🚫 Ne pas tester : une landing page, ça se peaufine. Testez différentes versions (A/B Testing) pour voir ce qui marche le mieux.

🚫 Mots-clés mal optimisés : trop de jargon technique ou pas assez de recherche de mots-clés.

Landing pages : l’outil indispensable pour convertir vos visiteurs en clients

1. Ignorer les tendances, ou trop les suivre

C’est bien de savoir ce qui est à la mode (merci TikTok et Pinterest), mais tomber dans l’excès, c’est risquer de produire un design qui sera daté dans quelques mois.

  • À éviter :
    adopter des styles ultra-populaires sans réfléchir à leur pertinence pour votre marque (oui, on parle de la vague des dégradés flashy et le retour intense des années 80).
  • À faire :
    inspirez-vous des tendances, mais adaptez-les à votre propre identité visuelle pour rester intemporel.

2. Trop jouer avec les polices de caractères

Le choix de la typographie peut faire ou défaire un design. Une mauvaise combinaison ou un usage excessif de polices, et voilà un visuel qui manque de professionnalisme.

  • À éviter :
    mélanger cinq polices différentes (ou même trois, soyons honnêtes). Et dites non à Comic Sans ou Papyrus, peu importe la nostalgie.
  • À faire :
    limitez-vous à deux polices complémentaires, avec une hiérarchie claire entre titres et corps de texte.

3. Négliger l’espace négatif

Un design surchargé, c’est comme un sac trop rempli : personne ne trouve ce qu’il cherche. L’espace négatif (ou espace blanc) n’est pas un vide à remplir, mais un élément clé pour aérer et guider l’œil.

  • À éviter :
    empiler texte, icônes, images et bordures comme un jeu de Tetris.
  • À faire :
    utilisez des marges généreuses pour structurer vos contenus et offrir un design qui respire (les visuels créés sur Canva semblent souvent alignés avec le cadre extérieur de votre écran plutôt que la page faite attention! Pensez aux marges!).

4. Utiliser des images ou des éléments non optimisés

En 2025, une image floue ou pixelisée, c’est un game over instantané. Et si votre design met une éternité à charger sur un mobile, vous perdez votre audience avant même qu’elle ait vu quoi que ce soit.

  • À éviter :
    des visuels de mauvaise qualité ou non adaptés à différents formats d’écran.
  • À faire :
    utilisez des images HD (haute définition) compressées, des formats modernes (comme le WebP), et pensez toujours mobile first.

5. Oublier l’accessibilité

En design graphique, ignorer l’accessibilité, c’est fermer la porte à une partie de votre audience. En 2025, c’est non seulement une erreur UX, mais aussi une erreur éthique.

  • À éviter :
    des contrastes trop faibles, des textes minuscules, ou des couleurs difficiles à distinguer pour les personnes daltoniennes.
  • À faire :
    vérifiez vos palettes de couleurs avec des outils comme Contrast Checker, utilisez des polices lisibles, et ajoutez des descriptions alternatives à vos visuels.
5 erreurs courantes en design graphique à éviter en 2025