Soyons honnêtes, les réseaux sociaux restent une des façons les plus simples et rapides de gagner en visibilité. Mais ce n’est pas la seule. Et surtout, ce n’est pas une obligation.

En 2025, il est tout à fait possible de bâtir une stratégie marketing efficace sans devoir vous filmer en train de danser dans votre salle de conférence pour rester dans l’algorithme.

Est-ce que c’est faisable? Oui. Et on vous montre comment.

Pourquoi certaines PME veulent réduire leur présence sur les réseaux sociaux en 2025?

Avant de plonger dans les alternatives, mettons les choses au clair: les réseaux sociaux demeurent, en 2025, l’un des outils les plus efficaces pour se faire connaître. Leur portée, leur flexibilité et leur potentiel de conversion sont indéniables.

Mais malgré tout ça, certaines PME choisissent de ralentir, de réduire leur présence ou carrément de prendre un virage différent. Pas parce qu’elles pensent que ça ne fonctionne pas, mais parce que ça ne fonctionne plus pour elles.

Voici pourquoi:

Parce que ça demande beaucoup (trop) d’énergie
Créer du contenu chaque semaine, suivre les tendances, rester visible malgré l’algorithme… Ça peut devenir épuisant, surtout quand on gère déjà tout le reste de l’entreprise.

Parce que ce n’est pas toujours adapté à leur clientèle
Certaines entreprises ciblent une clientèle qui n’est pas très active sur les réseaux sociaux ou qui préfère d’autres canaux: recherche Google, infolettre, références, contact humain.

Parce que ça finit par coûter cher
Même si les plateformes sont gratuites, le temps, les outils, la création de contenu et les pubs… ça finit par gruger un bon bout du budget et de la patience.

Et parfois, c’est une question de valeurs
Certaines entreprises veulent simplement moins contribuer à la course à l’attention, à l’hyperconnectivité ou à la collecte de données. Elles cherchent des façons de faire du marketing plus humaines, plus alignées avec leurs convictions.

Bref, il ne s’agit pas de dire que les réseaux sociaux sont mauvais. Il s’agit de reconnaître que ce n’est pas la seule voie possible. Et si vous cherchez à reprendre un peu de contrôle sur votre marketing, sans dépendre à 100 % des likes, ce qui suit pourrait bien vous inspirer.

6 façons concrètes de faire du marketing sans réseaux sociaux

1. Miser sur le référencement local Google

Quand un client potentiel cherche vos services, il va sur le Web et c’est souvent Google qu’il consulte en premier.

Ce qu’on peut faire:

Pourquoi ça fonctionne: Parce qu’un bon profile d’entreprise Google, ça vous met en haut des résultats, sans payer de pub.

2. Envoyer une infolettre (oui, c’est encore très pertinant)

L’infolettre, c’est un canal direct, sans intermédiaire, sans algorithme.

Ce qu’on peut faire:

  • Créer une liste d’abonnés (même petite, elle est précieuse)

  • Partager des nouvelles, des conseils ou des offres adaptées à chaque type de client grâce à la segmentation

  • Maintenir un lien régulier, mais pas envahissant

Pourquoi ça fonctionne: Parce qu’on parle à des gens qui veulent vraiment vous lire. Et ça, ça vaut de l’or.

3. Sortir et réseauter dans le vrai monde

Même en 2025, les relations humaines ont encore une énorme valeur. Et souvent, une poignée de main vaut mieux qu’une publication sur les réseaux sociaux.

Ce qu’on peut faire:

  • Participer à des événements d’affaires locaux

  • Se joindre à la Chambre de commerce de sa région

  • Organiser des petits déjeuners, ateliers, conférences

Pourquoi ça fonctionne: Parce que les connexions réelles mènent à des collaborations, des références, et du bouche-à-oreille solide.

4. Activer le bouche-à-oreille et le propulser

On ne le dira jamais assez: un client satisfait est votre meilleur agent marketing.

Ce qu’on peut faire:

  • Offrir une expérience client mémorable

  • Mettre en place un programme de référencement

  • Demander un avis ou un témoignage après chaque vente ou service

Pourquoi ça fonctionne: Parce qu’on fait naturellement confiance à l’opinion des autres (surtout ceux qu’on connaît).

5. Créer des partenariats locaux

Pourquoi jouer en solo quand on peut s’allier à d’autres PME qui ont la même clientèle?

Ce qu’on peut faire:

  • S’associer avec des commerces complémentaires

  • Créer des offres croisées ou des événements communs

  • Partager des ressources ou du contenu ensemble

Pourquoi ça fonctionne: Parce qu’on double (ou triple!) sa visibilité… sans doubler le budget.

6. Participer à des événements et être visible sur le terrain

Le marketing terrain n’est pas mort. Loin de là.

Ce qu’on peut faire:

  • Avoir une présence dans les marchés publics, foires commerciales, salons

  • Organiser des événements maison: portes ouvertes, ateliers, dégustations

  • Rendre chaque interaction inoubliable

Pourquoi ça fonctionne: Parce que les gens se souviennent de ce qu’ils vivent, pas juste de ce qu’ils scrollent.

Quelques exemples de PME québécoises qui pourraient briller sans réseaux sociaux

Salon de coiffure Chantal à Drummondville

Fiche Google optimisée, infolettre simple, expérience client irréprochable. Résultat: agenda toujours plein.

Électro-Mario à Val-d’Or

Pas de réseaux, mais un site bien référencé, un réseau de partenaires solides, et beaucoup de clients satisfaits qui en parlent autour d’eux.

Fromagerie du Coin à Montmagny

Dégustations sur place, présence dans les événements locaux, partenariats avec des restaurateurs. On parle d’eux… même sans Instagram.

Les limites à garder en tête avant de changer d’approche

Il ne faut pas se raconter d’histoires.

⚠️ Vous aurez moins de visibilité rapide
⚠️ L’interaction instantanée avec la clientèle est plus limitée
⚠️ Ça demande plus d’investissement de temps au début

Mais :
✅ Vous gardez le contrôle
✅ Vous bâtissez une base solide
✅ Vous développez une notoriété durable

Avez-vous envie de réduire un peu votre dépendance aux réseaux sociaux ?

Peut-être pas pour les quitter complètement, mais simplement pour diversifier vos canaux et retrouver un peu plus de contrôle (et de calme).

On ne vous dit pas de tout supprimer. Juste de considérer un marketing plus humain, plus local, plus stratégique — un marketing qui vous ressemble, et qui ne dépend pas uniquement d’un algorithme changeant.

Les avis clients sont devenus un levier essentiel pour attirer de nouveaux clients et améliorer votre crédibilité. Mais comment les obtenir sans passer pour un marchand de tapis ou harceler vos clients?

On vous donne les meilleures stratégies (éprouvées en 2025) pour collecter des avis… sans effort (ou presque).

Pourquoi les avis clients sont-ils plus importants que jamais en 2025?

Parce qu’en 2025, on ne croit plus les belles promesses marketing. On veut du réel, du concret, du vécu.

  • 93 % des consommateurs lisent les avis en ligne avant de faire un achat ou choisir un service. (Oui, c’est presque tout le monde.)
  • Les avis influencent le référencement sur Google: plus vous avez d’avis, plus votre entreprise ressort dans les résultats de recherche.
  • Un bon avis peut convaincre un client hésitant bien plus efficacement que n’importe quelle pub payante.

Bref, pas d’avis? Pas de clients.

Simplifiez au maximum le processus

Si vous voulez des avis, il faut que ce soit ultra simple pour vos clients. La règle d’or : moins il y a d’étapes, plus vous aurez d’avis.

Astuces pour faciliter la tâche :

  • Envoyez un lien direct vers la page d’avis Google ou Facebook après chaque achat/service.
  • Affichez un code QR en boutique, sur les factures ou les emballages.
  • Automatisez un courriel ou un texto demandant un avis après une transaction.

🛑 Ce qu’il ne faut PAS faire : demander aux clients d’aller « chercher votre entreprise sur Google » et de « trouver où laisser un avis ». Personne ne fera l’effort.

Demandez un avis… au bon moment!

Un client satisfait veut bien donner un avis, mais il n’y pense pas. À vous de choisir le bon moment pour lui rappeler gentiment.

Quand demander un avis?

  • Juste après un achat ou une prestation réussie.
  • Après une interaction positive avec votre service client.
  • Quand un client vous envoie un message pour dire qu’il est satisfait.

Trop tôt = ça passe inaperçu. Trop tard = ils ont oublié.

Offrez un petit « push » incitatif (sans tricher)

Les gens aiment être récompensés. Un léger incitatif peut les motiver à prendre 2 minutes pour écrire un avis.

Ce qui est PERMIS :

  • Un code promo ou un rabais futur.
  • Un concours où chaque avis donne une participation.
  • Un cadeau symbolique (ex. : un café gratuit, un ebook, un accès à du contenu exclusif).

Ce qui est INTERDIT (et risqué) :

❌ Acheter des avis (ça se voit et Google peut vous pénaliser sévèrement).
❌ Exiger un avis positif (c’est louche et contraire aux règles des plateformes).

Répondez à TOUS les avis (oui, même les mauvais!)

Obtenir des avis, c’est bien. Les gérer, c’est encore mieux.

Pourquoi répondre aux avis?

  • Ça montre que vous prenez vos clients au sérieux.
  • Ça améliore votre image de marque et rassure les futurs clients.
  • Ça peut transformer un avis neutre en un avis hyper positif.

Et les mauvais avis?
Surtout, ne les ignorez pas. Une réponse professionnelle et empathique peut limiter les dégâts et parfois même retourner la situation à votre avantage.

Exemple de réponse à un avis négatif :
« Merci pour votre retour! Nous sommes désolés que votre expérience n’ait pas été à la hauteur de vos attentes. Contactez-nous en privé, on aimerait rectifier ça! »

Utilisez les réseaux sociaux pour collecter des avis

Les clients aiment s’exprimer sur les réseaux, alors facilitez-leur la tâche!

Astuces médias sociaux :

  • Faites une publication invitant à laisser un avis (avec un lien direct vers Google Avis ou Facebook).
  • Mettez en avant les meilleurs avis en stories ou en publications pour donner envie aux autres d’en laisser aussi.
  • Faites des sondages et demandez un retour en commentaire : les gens adorent donner leur opinion!

Récupérez les avis clients hors ligne

Tous les avis ne sont pas sur le Web. Beaucoup de clients vous font des retours par courriel, en personne ou par téléphone.

Ne les laissez pas se perdre!

Demandez-leur gentiment : « Ça vous dérangerait de partager votre avis sur Google ou Facebook? Ça nous aide énormément! »

Astuce : proposez même de rédiger un résumé pour eux, qu’ils n’auront plus qu’à copier-coller!

Affichez vos avis partout (et faites-en un atout marketing!)

Les avis clients, c’est de l’or en barre. Une fois que vous en avez, servez-vous-en!

Où afficher vos avis?

  • Sur votre site Web (page d’accueil, page « témoignages », fiche produit…).
  • Dans vos infolettres pour rassurer les prospects.
  • Sur vos publicités et brochures.
  • En signature de courriel.

Les avis = la meilleure preuve sociale pour convaincre les indécis.

meilleure façon d’obtenir des avis clients, 5 étoiles avis google.

Et vous, comment gérez-vous les avis clients?

Vous avez déjà testé certaines de ces stratégies? Vous avez d’autres astuces? Partagez-les en commentaire! Vous avez besoin d’aide avec certaines de ces astuces? On est là pour aider.

Partagez cet article avec un entrepreneur qui a de la misère à obtenir des avis!

Facebook, c’est comme louer un local dans un centre commercial

Imaginez que vous ouvrez un petit café dans un centre commercial hyper populaire. Beaucoup de gens passent devant votre vitrine, vous avez de la visibilité, mais… :

  • vous ne contrôlez pas les règles du jeu. Facebook peut modifier son algorithme du jour au lendemain, et pouf! Votre page devient invisible;
  • vous êtes en concurrence avec une tonne d’autres commerces qui essaient aussi d’attirer l’attention;
  • si Facebook décide de fermer votre page ou de bloquer votre compte (eh oui, ça arrive!), vous perdez tout;

Un site Web, c’est comme avoir votre propre local. Vous en faites ce que vous voulez, sans craindre qu’un changement de politique vous mette dans le pétrin.

Un site Web, c’est votre carte de visite 24/7

Quand quelqu’un tape le nom de votre entreprise sur Google, il s’attend à tomber sur un site professionnel, pas juste sur une page Facebook.

Avec un site, vous pouvez :

  • afficher vos services de manière claire et structurée;
  • offrir une meilleure expérience utilisateur sans distractions;
  • montrer que vous êtes une entreprise sérieuse (parce que oui, en 2025, ne pas avoir de site, ça peut sembler louche!).

Une page Facebook est une vitrine. Un site Web est une expérience complète où vous contrôlez l’image et le message.

Google vs Facebook : qui veut vraiment vous aider?

Un autre point crucial : le référencement (SEO).

Avec une page Facebook :

❌ vous n’apparaissez pas en haut des résultats de recherche sur Google;
❌ les gens doivent aller sur Facebook pour vous trouver (et s’ils n’ont pas de compte? 😬);
❌ vos publications disparaissent rapidement dans le fil d’actualité.

Avec un site Web optimisé :

✅ vous avez une vraie présence sur Google;
✅ vous attirez des visiteurs qui cherchent VOS services, même s’ils ne vous connaissent pas encore;
✅ votre contenu reste en ligne et accessible en tout temps.

En gros, Facebook vous emprisonne sur sa plateforme, tandis qu’un site Web vous donne la liberté d’exister ailleurs.

Un site Web, ça peut être simple et évolutif!

Beaucoup d’entrepreneurs hésitent à créer un site Web parce qu’ils imaginent tout de suite une usine à gaz avec plein de pages, des fonctionnalités complexes et un prix exorbitant.

Mais voici la bonne nouvelle : vous pouvez commencer avec un site ultra simple.

Un mini-site d’une seule page peut suffire au départ, avec :
– un résumé de vos services;
– vos coordonnées et un formulaire de contact;
– quelques avis clients pour la crédibilité;
– un lien vers vos réseaux sociaux.

Et ensuite? Quand votre entreprise grandit, votre site grandit avec vous! Vous pouvez ajouter des pages, un blogue, une boutique en ligne… sans faire exploser votre budget dès le départ.

Mieux vaut un petit site Web efficace qu’aucun site du tout.

Une stratégie gagnante : combiner les deux

Alors, faut-il jeter votre page Facebook à la poubelle? Pas du tout!
Mais elle doit être un complément à votre site Web, pas un remplacement.

L’idéal :
– Utiliser Facebook pour interagir avec votre communauté, publier des nouveautés et attirer du trafic vers votre site.
– Avoir un site Web bien construit pour donner une image pro et convertir vos visiteurs en clients.

Petit truc : ajoutez un lien vers votre site Web dans votre bio Facebook et dans chaque publication pour maximiser votre impact!

Faut-il absolument avoir un site Web ou est-ce que ma page Facebook suffit?

Et vous, vous en pensez quoi?

Votre entreprise tourne uniquement avec Facebook? Vous hésitez à créer un site? Venez en discuter dans les commentaires! Et si vous avez besoin d’un coup de main pour bâtir votre présence en ligne, on a des experts qui peuvent vous aider. 😉

C’est là qu’intervient LA landing page, cet outil incontournable du marketing digital qui transforme un trafic qualifié en clients fidèles. Une page d’atterrissage optimisée est la clé pour augmenter son taux de conversion, générer plus de leads et booster son RCI (ROI Return On Investments).

Voyons ensemble comment créer une landing page efficace pourrait faire décoller ton entreprise.

1. C’est quoi une landing page et pourquoi ça change la donne?

Une landing page (ou page d’atterrissage), c’est une page Web conçue pour une seule mission : convertir. Contrairement à une page d’accueil, qui doit tout montrer (votre histoire, vos services, vos valeurs, votre chat mascotte), la landing page est ultra ciblée et épurée.

Son objectif unique peut être de :

  • Faire télécharger un e-book gratuit pour récupérer des courriels;
  • Inscrire des gens à une infolettre (comme celle-ci, hein);
  • Faire tester un produit ou service;
  • Vendre une offre précise, sans distractions.

Pourquoi c’est indispensable?

  • Les entreprises qui utilisent des landing pages obtiennent 55 % de leads en plus qu’avec des pages classiques (source : HubSpot).
  • Une bonne landing page peut augmenter vos conversions de 300 % (source : Unbounce).

Pas mal, non?

2. Les ingrédients d’une landing page qui convertit

Si vous voulez que votre landing page transforme, il y a quelques règles d’or à respecter. Voici la recette magique :

a) Un titre accrocheur

Votre visiteur doit comprendre immédiatement ce que vous lui offrez et pourquoi il en a besoin. Exemple :

« Multipliez vos ventes par 3 grâce à cette méthode (testée et approuvée) »
« Téléchargez votre guide GRATUIT pour (insérer avantage irrésistible) »

b) Un visuel qui attire l’œil

Une image vaut mille mots, mais une mauvaise image peut tuer une conversion. Privilégiez :

  • des visuels pros et engageants;
  • des vidéos explicatives courtes (augmentent les conversions de 86 %).

c) Un appel à l’action (CTA) irrésistible

Votre bouton CTA doit être visible immédiatement et donner envie d’agir :

🔴 Mauvais : « Envoyer » (ennuyeux et vague);
🟢 Bon : « Oui, je veux mon guide gratuit! »/« Je réserve ma place maintenant ».

d) Une mise en page ultra épurée

Trop d’info tue l’info. Une bonne landing page doit être minimaliste et efficace. Un seul message, une seule action.

e) La preuve sociale : vos meilleurs arguments de vente

Les gens font confiance aux autres (surtout à ceux qui ont déjà testé votre offre). Ajoutez des :

  • témoignages clients (avec photo pour plus d’impact);
  • statistiques de réussite (ex. : « 94 % de nos utilisateurs ont vu leurs ventes augmenter. »);
  • logos d’entreprises clientes pour rassurer les prospects.

3. Les pièges à éviter (et qui ruinent vos conversions)

🚫 Trop de distractions : menus, liens inutiles, pubs… tout ce qui détourne l’attention du visiteur est un frein à la conversion.

🚫 Une offre floue : si votre visiteur ne comprend pas immédiatement ce que vous proposez, il partira.

🚫 Une page non optimisée pour mobile : plus de 60 % des visites viennent du mobile (source : Statista). Si votre page met 3 ans à charger, c’est mort.

🚫 Ne pas tester : une landing page, ça se peaufine. Testez différentes versions (A/B Testing) pour voir ce qui marche le mieux.

🚫 Mots-clés mal optimisés : trop de jargon technique ou pas assez de recherche de mots-clés.

Landing pages : l’outil indispensable pour convertir vos visiteurs en clients

Bref, l’UX, c’est le héros discret de votre site web. Et si ce n’est pas encore votre priorité, il est temps d’y remédier.

C’est quoi l’UX, au juste ?

Petit rappel : l’expérience utilisateur, c’est tout ce que ressent une personne en naviguant sur votre site. De la vitesse de chargement à la simplicité des menus, en passant par la clarté des contenus, chaque détail compte.

  • Une UX optimisée, c’est un chemin sans embûches.
  • Une UX ratée, c’est un visiteur qui s’énerve, quitte votre site et ne revient jamais.

Pourquoi l’UX est la clé de votre réussite en ligne

  1. Le premier clic compte (beaucoup)
    Un site qui met trop de temps à charger ou qui ressemble à une chasse au trésor, c’est un gros non pour vos visiteurs. Saviez-vous que 53 % des internautes quittent un site qui prend plus de 3 secondes à charger? Pas de pression, hein.

 

  1. Convertir les curieux en clients
    Un design clair et intuitif, c’est comme une enseigne lumineuse: ça attire l’attention et guide vos visiteurs vers l’action (achat, inscription, contact). Résultat? Un meilleur taux de conversion.

 

  1. La fidélité, ça se travaille
    Quand vos utilisateurs trouvent facilement ce qu’ils cherchent, ils reviennent. Mieux encore, ils parlent de vous à leur entourage. Et voilà, vous venez de transformer votre UX en arme secrète de fidélisation.

Comment améliorer l’UX de votre site

1. Adoptez le minimalisme

Pas besoin de surcharger votre site avec des pop-ups, des animations qui clignotent ou un arc-en-ciel de couleurs.

Allez à l’essentiel:

  • Menus simples et bien organisés.
  • Visuels qui soutiennent, pas qui écrasent: utilisez des images claires et pertinentes qui illustrent votre contenu sans le surcharger. Évitez les visuels inutiles, trop flashy ou lourds qui ralentissent le site et distraient les visiteurs. Gardez toujours vos visuels simples, harmonieux et bien optimisés.

2. Optimisez la vitesse de chargement

Un site lent, c’est comme une tortue sur une autoroute. Assurez-vous d’avoir des images compressées, un hébergement performant, et un site qui ne fait pas la sieste.

3. Testez, testez, et testez encore

Demandez à des utilisateurs réels ce qu’ils pensent de votre site. Rien de tel qu’un feedback honnête pour déceler les points à améliorer.

4. Pensez mobile first

Avec près de 60 % du trafic web mondial sur mobile, avoir un site qui s’adapte parfaitement aux écrans de poche n’est plus une option, c’est une nécessité.

Les avantages concrets d’une UX bien pensée

  • Augmentation du trafic grâce à un meilleur référencement (Google adore les sites UX-friendly).
  • Des visiteurs plus engagés qui restent plus longtemps sur vos pages.
  • Un chiffre d’affaires en hausse, parce qu’un client satisfait est un client qui achète.

Les erreurs UX à éviter absolument

Parce que parfois, savoir quoi ne pas faire est tout aussi important que savoir quoi faire, voici un tour d’horizon des pièges UX les plus courants qui pourraient ruiner votre site (et vos chances de séduire vos visiteurs).

1. Trop de popups tue le pop-up

Un pop-up, c’est comme un voisin un peu trop envahissant. Un, c’est mignon, mais trois en moins de cinq secondes? Non merci. Limitez-les à ce qui est essentiel: une promo, une inscription, ou une info importante. Le reste, poubelle.

2. Des call-to-action trop ambigus

Un bouton « Cliquez ici » sans contexte? C’est l’équivalent digital de poser une porte sans panneau. Soyez clair et précis: « Télécharger le guide », « Obtenir un devis », ou encore « Ajouter au panier ».

3. Un contenu mal organisé

Un bloc de texte géant sans titre, sans paragraphe clair, et sans aération visuelle, c’est la garantie que personne ne lira. Optez pour des titres accrocheurs, des listes à puces, et des visuels pertinents pour donner envie de scroller.

4. Des formulaires interminables

Demander le nom de jeune fille de la grand-mère de vos visiteurs pour s’abonner à une infolettre? Sérieusement? Gardez vos formulaires simples et efficaces: demandez juste les infos nécessaires.

5. Ignorer l’écriture inclusive

Aujourd’hui, avoir une UX qui inclut tout le monde passe aussi par un langage respectueux et inclusif. L’écriture inclusive ne signifie pas forcément mettre des points médians partout (on sait, ça peut être déroutant). Il s’agit surtout d’utiliser des mots neutres et de penser à représenter toutes les identités. Exemples:

  • Préférez « utilisateur(rices) » si le contexte le permet.
  • Sinon, optez pour des formulations universelles comme « les personnes qui utilisent votre site » ou « les membres de votre communauté ».
  • Sur le web, privilégiez les parenthèses (comme dans “utilisateur(rices)”), car elles sont mieux interprétées par les lecteurs d’écran, garantissant une accessibilité optimale.

Une écriture inclusive rend vos contenus accessibles à un public plus large, tout en reflétant des valeurs modernes et progressistes. Ignorer cet aspect pourrait éloigner une partie de votre audience.

Les erreurs UX à éviter absolument

Parce que parfois, savoir quoi ne pas faire est tout aussi important que savoir quoi faire, voici un tour d’horizon des pièges UX les plus courants qui pourraient ruiner votre site (et vos chances de séduire vos visiteurs).

1. Trop de popups tue le pop-up

Un pop-up, c’est comme un voisin un peu trop envahissant. Un, c’est mignon, mais trois en moins de cinq secondes? Non merci. Limitez-les à ce qui est essentiel: une promo, une inscription, ou une info importante. Le reste, poubelle.

2. Des call-to-action trop ambigus

Un bouton « Cliquez ici » sans contexte? C’est l’équivalent digital de poser une porte sans panneau. Soyez clair et précis: « Télécharger le guide », « Obtenir un devis », ou encore « Ajouter au panier ».

3. Un contenu mal organisé

Un bloc de texte géant sans titre, sans paragraphe clair, et sans aération visuelle, c’est la garantie que personne ne lira. Optez pour des titres accrocheurs, des listes à puces, et des visuels pertinents pour donner envie de scroller.

4. Des formulaires interminables

Demander le nom de jeune fille de la grand-mère de vos visiteurs pour s’abonner à une infolettre? Sérieusement? Gardez vos formulaires simples et efficaces: demandez juste les infos nécessaires.

5. Ignorer l’écriture inclusive

Aujourd’hui, avoir une UX qui inclut tout le monde passe aussi par un langage respectueux et inclusif. L’écriture inclusive ne signifie pas forcément mettre des points médians partout (on sait, ça peut être déroutant). Il s’agit surtout d’utiliser des mots neutres et de penser à représenter toutes les identités. Exemples:

  • Préférez « utilisateur(rices) » si le contexte le permet.
  • Sinon, optez pour des formulations universelles comme « les personnes qui utilisent votre site » ou « les membres de votre communauté ».
  • Sur le web, privilégiez les parenthèses (comme dans “utilisateur(rices)”), car elles sont mieux interprétées par les lecteurs d’écran, garantissant une accessibilité optimale.

Une écriture inclusive rend vos contenus accessibles à un public plus large, tout en reflétant des valeurs modernes et progressistes. Ignorer cet aspect pourrait éloigner une partie de votre audience.

En bonus : Comment détecter ces erreurs?

  • Faites appel à un outil d’analyse UX (Google Analytics, Hotjar).
  • Observez le comportement des utilisateurs (quitte à demander leur avis).
  • Comparez votre site avec celui de vos concurrents pour repérer ce qui cloche.
Pourquoi l’expérience utilisateur (UX) est essentielle pour ton site web

En fin de compte, l’UX n’est pas juste une mode ou un mot tendance pour les geeks.

C’est la clé pour transformer votre site en un outil puissant et performant, capable de répondre aux attentes de vos visiteurs tout en les guidant naturellement vers vos objectifs (achat, inscription, ou tout simplement rester un peu plus longtemps). Alors, prenez le temps de peaufiner l’expérience de vos utilisateurs, parce que chaque détail compte. Un site bien pensé, c’est une entreprise bien lancée.