Bref, l’UX, c’est le héros discret de votre site web. Et si ce n’est pas encore votre priorité, il est temps d’y remédier.
C’est quoi l’UX, au juste ?
Petit rappel : l’expérience utilisateur, c’est tout ce que ressent une personne en naviguant sur votre site. De la vitesse de chargement à la simplicité des menus, en passant par la clarté des contenus, chaque détail compte.
- Une UX optimisée, c’est un chemin sans embûches.
- Une UX ratée, c’est un visiteur qui s’énerve, quitte votre site et ne revient jamais.
Pourquoi l’UX est la clé de votre réussite en ligne
- Le premier clic compte (beaucoup)
Un site qui met trop de temps à charger ou qui ressemble à une chasse au trésor, c’est un gros non pour vos visiteurs. Saviez-vous que 53 % des internautes quittent un site qui prend plus de 3 secondes à charger? Pas de pression, hein.
- Convertir les curieux en clients
Un design clair et intuitif, c’est comme une enseigne lumineuse: ça attire l’attention et guide vos visiteurs vers l’action (achat, inscription, contact). Résultat? Un meilleur taux de conversion.
- La fidélité, ça se travaille
Quand vos utilisateurs trouvent facilement ce qu’ils cherchent, ils reviennent. Mieux encore, ils parlent de vous à leur entourage. Et voilà, vous venez de transformer votre UX en arme secrète de fidélisation.
Comment améliorer l’UX de votre site
1. Adoptez le minimalisme
Pas besoin de surcharger votre site avec des pop-ups, des animations qui clignotent ou un arc-en-ciel de couleurs.
Allez à l’essentiel:
- Menus simples et bien organisés.
- Visuels qui soutiennent, pas qui écrasent: utilisez des images claires et pertinentes qui illustrent votre contenu sans le surcharger. Évitez les visuels inutiles, trop flashy ou lourds qui ralentissent le site et distraient les visiteurs. Gardez toujours vos visuels simples, harmonieux et bien optimisés.
2. Optimisez la vitesse de chargement
Un site lent, c’est comme une tortue sur une autoroute. Assurez-vous d’avoir des images compressées, un hébergement performant, et un site qui ne fait pas la sieste.
3. Testez, testez, et testez encore
Demandez à des utilisateurs réels ce qu’ils pensent de votre site. Rien de tel qu’un feedback honnête pour déceler les points à améliorer.
4. Pensez mobile first
Avec près de 60 % du trafic web mondial sur mobile, avoir un site qui s’adapte parfaitement aux écrans de poche n’est plus une option, c’est une nécessité.
Les avantages concrets d’une UX bien pensée
- Augmentation du trafic grâce à un meilleur référencement (Google adore les sites UX-friendly).
- Des visiteurs plus engagés qui restent plus longtemps sur vos pages.
- Un chiffre d’affaires en hausse, parce qu’un client satisfait est un client qui achète.
Les erreurs UX à éviter absolument
Parce que parfois, savoir quoi ne pas faire est tout aussi important que savoir quoi faire, voici un tour d’horizon des pièges UX les plus courants qui pourraient ruiner votre site (et vos chances de séduire vos visiteurs).
1. Trop de popups tue le pop-up
Un pop-up, c’est comme un voisin un peu trop envahissant. Un, c’est mignon, mais trois en moins de cinq secondes? Non merci. Limitez-les à ce qui est essentiel: une promo, une inscription, ou une info importante. Le reste, poubelle.
2. Des call-to-action trop ambigus
Un bouton « Cliquez ici » sans contexte? C’est l’équivalent digital de poser une porte sans panneau. Soyez clair et précis: « Télécharger le guide », « Obtenir un devis », ou encore « Ajouter au panier ».
3. Un contenu mal organisé
Un bloc de texte géant sans titre, sans paragraphe clair, et sans aération visuelle, c’est la garantie que personne ne lira. Optez pour des titres accrocheurs, des listes à puces, et des visuels pertinents pour donner envie de scroller.
4. Des formulaires interminables
Demander le nom de jeune fille de la grand-mère de vos visiteurs pour s’abonner à une infolettre? Sérieusement? Gardez vos formulaires simples et efficaces: demandez juste les infos nécessaires.
5. Ignorer l’écriture inclusive
Aujourd’hui, avoir une UX qui inclut tout le monde passe aussi par un langage respectueux et inclusif. L’écriture inclusive ne signifie pas forcément mettre des points médians partout (on sait, ça peut être déroutant). Il s’agit surtout d’utiliser des mots neutres et de penser à représenter toutes les identités. Exemples:
- Préférez « utilisateur(rices) » si le contexte le permet.
- Sinon, optez pour des formulations universelles comme « les personnes qui utilisent votre site » ou « les membres de votre communauté ».
- Sur le web, privilégiez les parenthèses (comme dans “utilisateur(rices)”), car elles sont mieux interprétées par les lecteurs d’écran, garantissant une accessibilité optimale.
Une écriture inclusive rend vos contenus accessibles à un public plus large, tout en reflétant des valeurs modernes et progressistes. Ignorer cet aspect pourrait éloigner une partie de votre audience.
Les erreurs UX à éviter absolument
Parce que parfois, savoir quoi ne pas faire est tout aussi important que savoir quoi faire, voici un tour d’horizon des pièges UX les plus courants qui pourraient ruiner votre site (et vos chances de séduire vos visiteurs).
1. Trop de popups tue le pop-up
Un pop-up, c’est comme un voisin un peu trop envahissant. Un, c’est mignon, mais trois en moins de cinq secondes? Non merci. Limitez-les à ce qui est essentiel: une promo, une inscription, ou une info importante. Le reste, poubelle.
2. Des call-to-action trop ambigus
Un bouton « Cliquez ici » sans contexte? C’est l’équivalent digital de poser une porte sans panneau. Soyez clair et précis: « Télécharger le guide », « Obtenir un devis », ou encore « Ajouter au panier ».
3. Un contenu mal organisé
Un bloc de texte géant sans titre, sans paragraphe clair, et sans aération visuelle, c’est la garantie que personne ne lira. Optez pour des titres accrocheurs, des listes à puces, et des visuels pertinents pour donner envie de scroller.
4. Des formulaires interminables
Demander le nom de jeune fille de la grand-mère de vos visiteurs pour s’abonner à une infolettre? Sérieusement? Gardez vos formulaires simples et efficaces: demandez juste les infos nécessaires.
5. Ignorer l’écriture inclusive
Aujourd’hui, avoir une UX qui inclut tout le monde passe aussi par un langage respectueux et inclusif. L’écriture inclusive ne signifie pas forcément mettre des points médians partout (on sait, ça peut être déroutant). Il s’agit surtout d’utiliser des mots neutres et de penser à représenter toutes les identités. Exemples:
- Préférez « utilisateur(rices) » si le contexte le permet.
- Sinon, optez pour des formulations universelles comme « les personnes qui utilisent votre site » ou « les membres de votre communauté ».
- Sur le web, privilégiez les parenthèses (comme dans “utilisateur(rices)”), car elles sont mieux interprétées par les lecteurs d’écran, garantissant une accessibilité optimale.
Une écriture inclusive rend vos contenus accessibles à un public plus large, tout en reflétant des valeurs modernes et progressistes. Ignorer cet aspect pourrait éloigner une partie de votre audience.
En bonus : Comment détecter ces erreurs?
- Faites appel à un outil d’analyse UX (Google Analytics, Hotjar).
- Observez le comportement des utilisateurs (quitte à demander leur avis).
- Comparez votre site avec celui de vos concurrents pour repérer ce qui cloche.
En fin de compte, l’UX n’est pas juste une mode ou un mot tendance pour les geeks.
C’est la clé pour transformer votre site en un outil puissant et performant, capable de répondre aux attentes de vos visiteurs tout en les guidant naturellement vers vos objectifs (achat, inscription, ou tout simplement rester un peu plus longtemps). Alors, prenez le temps de peaufiner l’expérience de vos utilisateurs, parce que chaque détail compte. Un site bien pensé, c’est une entreprise bien lancée.
La bonne nouvelle est qu’il est plus facile que jamais de se créer une présence en ligne grâce à des outils gratuits ou peu coûteux, qui n’exigent aucune ou peu de connaissances en programmation. Il est tout aussi facile de créer et bien utiliser une page professionnelle sur les réseaux sociaux. Par ailleurs, il faut les tenir à jour. Sans hésiter à recourir à des experts pour obtenir l’aide dont on a besoin.
Voici quelques petits trucs pour bien démarrer!
Commencer doucement
Vaut mieux commencer petit et bien développer le volet web de son entreprise au même rythme que vos apprentissages, sans y investir tout son temps et son argent.
Le design, un élément primordial!
Votre site Web et vos pages sur les réseaux sociaux ne devraient pas être trop chargés de texte. Mettez en évidence de belles photos, des appels à l’action ( ex. «Téléchargez maintenant!») et vos coordonnées sur chaque page. N’hésitez pas à consulter un professionnel.
Faite-vous connaitre
Un site web ou une page Facebook seulement visitée par vos amis proches et votre famille n’aidera pas la croissance de votre entreprise. Utilisez du contenu à valeur ajoutée pour favoriser le développement d’une communauté en ligne. Pensez à du contenu amusant et éducatif plutôt qu’à du contenu purement promotionnel. Les visiteurs sont plus susceptibles de partager ce type de contenu avec leurs réseaux.
Évaluer, apprendre et optimiser
Utilisez les données sur votre trafic web pour analyser l’étendue de vos efforts. Ces informations vous donnent la possibilité de tester rapidement l’efficacité de différents contenus, mises en page, heure de publication et campagnes promotionnelles afin de déterminer ce qui attire le plus de visiteurs.
N’hésitez pas à nous contacter pour des conseils et n’oubliez pas que nous offrons des formations pour vous rendre la vie facile dans le monde numérique!