Tout d’abord, c’est quoi une image de marque?

C’est l’ensemble de l’identité visuelle de votre entreprise, organisme, produit ou personne. Cela comprend :

  • le logo,
  • vos emballages,
  • la papeterie,
  • votre site web,
  • vos publicités,
  • les objets promotionnels
  • etc.

 

Pourquoi avoir une BONNE image de marque est important?

Raison 1: Votre image vous rend tangible.

Le fait d’avoir une identité forte et représentative vous permet d’être crédible au sein des autres entreprises, de vos partenaires, employés, fournisseurs et clients. Vous existez, car votre image existe. Un bon logo et des éléments qui fonctionnent ensemble inspirent la confiance et la fiabilité.

 

Raison 2: Elle vous rend mémorable.

Les gens vont mieux vous reconnaître si une image significative vient avec votre nom d’entreprise. Il est bien plus facile de se souvenir d’une couleur ou d’une forme. Votre nom est, de plus, renforcé par la présence d’une icône en lien avec votre champ d’expertise. Si on vous dit Nike, vous savez de qui on parle!

 

Raison 3: Elle est déclinable.

Votre image de marque vous permet de mettre votre marque (haha) sur chacune de vos sphères d’activité. Cela permet à vos clients de vous retrouver, car ils peuvent repérer votre identité sur vos produits, vos promotions, vos publicités,  les pages de vos réseaux, chez vos partenaires et bien plus…

 

Raison 4: Elle entretient un sentiment d’appartenance.

Vos employés doivent sentir qu’ils portent une emblème, une image crédible de leur dévouement et leur confiance en ce qu’ils vendent. Même chose pour vos clients. De la toute l’importance d’une image de marque personnalisée. C’est une part intégrante de la fierté d’appartenance à un commerce ou un produit. Ce facteur de promotion par le bouche-à-oreille qui n’est pas à négliger.

 

Raison 5: Elle est un attrait esthétique.

Votre image de marque vous représente, mais elle sert aussi à attirer votre public cible. C’est un appât indéniable pour donner envie aux gens d’en savoir plus sur vous et sur vos produits et services.

 

 

Il y a toute une science derrière la présentation visuelle. Cela va de la signification des couleurs à la psychologie des formes, en passant par la lisibilité et les déclinaisons. C’est pourquoi il est toujours préférable de laisser le soin à des gens qualifiés pour développer votre identité afin qu’elle soit à son mieux sur tous les moyens de diffusion.

Alors, dernière question. Est-il absolument nécessaire d’avoir une image de marque? ABSOLUMENT. L’importance de l’image de marque est irréfutable. C’est ce qui permet à votre entreprise d’être reconnue, promue, diffusée et appréciée. Votre image est à l’image de vous. Faites-vous voir!

importance de l'image de marque

Dans cet article, on élabore toutes les raisons derrière les délais normaux de production d’un site. Comme un bébé, celui-ci a besoin de temps et de délicatesse pour être mis au monde. Ça ne se fait pas toujours sans embuche ou nausée…

 

Les étapes de conception

1. L’évaluation

Cette étape est celle de la première rencontre. C’est là qu’on prend des informations sur vous, votre entreprise et vos besoins. On établit alors avec vous l’échéancier à venir, le type de site à concevoir et on vous explique toute la patente. C’est à ce moment qu’on règle les aspects d’hébergement et de nom de domaine.

Durée : quelques jours

 

2. Le plan

Avec nos petits carnets bien remplis, et nos têtes pleines d’informations, on débute alors la tempête d’idée. Ça ressemble plus à un ouragan. On monte à ce moment l’arborescence. C’est le squelette de votre site, sa structure. On y met le nom, l’ordre et la fonction des pages que l’on planifie mettre sur votre site.

Il y a alors révisions, discutions, recherches et synchronisation de vos besoins avec nos connaissances. On prend en compte l’expérience utilisateur (UX), l’aisance de navigation et votre budget : Plus de page = plus de sous. Une première ronde d’approbation de l’arborescence vous est alors envoyée et on vous explique comment elle fonctionne. Il y a parfois des phases de « gestation» où on laisse nos idées respirer pour en ressortir les meilleures d’où certains délais.

Durée : 1 à 2 semaines.

 

3. La recherche

Une fois l’arborescence choisie, on débute la grande recherche. On cherche des gabarits qui conviennent, on les teste, on vous les envoie pour une ronde d’approbation. Cela peut prendre de quelques jours à quelques semaines selon les délais de réponses. Entre-temps, on recherche aussi votre compétition, les tendances web, les extensions disponibles, etc. Tout en magasinant un gabarit, on pense au ton, aux couleurs, au placement du texte et des images. C’est un processus imprévisible qui dépend de la facilité à trouver l’information et la complexité de votre stratégie.

Durée : 1 à 2 semaines

 

4. La conception

Après votre choix de gabarit, c’est le moment de définir le visuel de votre site. À cette étape, les graphistes pensent votre palette de couleurs, les choix de polices de caractère, la hiérarchie de l’information, les boutons, les icônes et les images à mettre sur les pages. On vous envoie d’abord une maquette de votre page d’accueil pour approbation. Ensuite, on design les autres pages qu’on vous envoie pour approbation finale.

Durée : 3-6 semaines

 

5. La rédaction

Deux choix s’offrent à vous : faire votre propre rédaction web ou la faire faire.
Cette partie est probablement celle qui impactera le plus les délais de production de votre site. Écrire pour un site est complexe et demande du temps.

C’est aussi une étape très technique puisqu’elle implique une connaissance des principes du SEO et de l’intégration des mots-clés. Certains outils existent pour vous aider, mais c’est toujours plus rapide de déléguer le texte de votre site. Certaines agences peuvent vous proposer d’intégrer la rédaction ou de le sous-traiter à un rédacteur.

Durée : Si fait par nous 1 à 3 semaines (selon le nombre de pages sur le site)

 

6. La production

Une fois que le texte et le visuel finals sont approuvés, il est temps de produire votre site pour le mettre en ligne. C’est le gros morceau de la démarche et cela peut prendre quelques semaines. À ce moment, nos programmeurs, intégrateurs se mettent au travail pour monter le code. En d’autres mots, c’est le côté fonctionnel de votre site web.

Durée : environ 4 semaines.

 

Les choses qui impactent le temps de conception d’un site web

 

Les autres clients

Comme toute entreprise, on a plusieurs clients. Certaines périodes de grande demande dans l’année peuvent influencer le temps de livraison et on préfère attribuer une moyenne de temps de 14 semaines pour les sites. C’est un approximatif qui nous permet d’entrer dans les temps même lors de périodes plus chargées.

On aimerait vous dire que vous êtes le seul et unique, mais on ne ferait pas long feu en affaires… En contrepartie, plusieurs clients bénéficient alors de nos merveilleux services.

 

Les retours d’approbation

Et oui, parfois la balle est dans votre camp. Il est possible que vous soyez débordé durant quelques semaines et que votre temps de réponse soit plus long qu’à l’habitude. On comprend. Cela peut en revanche impacter la livraison de votre site. Certains temps coussins sont calculé d’avance dans les délais de production au cas où.

 

La complexité du site

Un site qui contient plus de pages, plus d’options, une boutique, l’intégration d’un portfolio ou de vidéos peut augmenter les délais considérablement. Si votre site est sans gabarit, ou qu’il demande des lignes de code sur mesure pour plusieurs fonctions, il prendra beaucoup plus de temps.

 

Votre rôle dans la conception de votre site web

La mise en ligne d’un site web est un travail collaboratif. C’est de là que ressortent toute la complexité et l’importance de choisir une agence qui convient à vos besoins. Vous devez être capable de communiquer aisément avec votre équipe et ils doivent pouvoir vous expliquer les étapes et les décisions clairement.

 

Ce que vous devez fournir:

  • Vos photos
  • Vos textes
  • Présentation de votre entreprise (mission, valeurs, équipe, histoire, etc.)
  • Une description de vos produits et services
  • Vos coordonnées
  • Votre logo et votre dossier d’image de marque (guide de normes graphiques)
  • Logos de vos partenaires que vous voulez présenter sur votre site
  • Descriptions de produits (dans le cas d’un site e-commerce)
  • Vos articles de blogue
  • Des vidéos
  • Les liens vers vos réseaux sociaux

 

Comment choisir la bonne agence?

Votre budget

Un site qui coute moins cher ne répondra peut-être pas à vos besoins. Il vaut mieux investir dans un site fonctionnel que de dépenser moins pour un site qui ne sert pas. Un site de bonne qualité devrait couter dans les quelques milliers de dollars. Ce montant inclut généralement des mises à jour fréquentes et un service de soutien.

 

Le portfolio

Si vous visitez les sites déjà créés par l’agence et que vous aimez le ton, les fonctions, il y a de bonnes chances qu’ils vous fournissent un site semblable. La diversité et la grosseur du portfolio sont un bon indice de l’expérience de celle-ci et de son parcours.

 

Votre échéancier

Veillez à ce que votre agence vous offre un échéancier raisonnable selon votre date prévue de lancement. En général, il faut prévoir de 3 à 4 mois pour lancer un site, et ce, si on démarre la production sur-le-champ. Certaines agences vont avoir des délais d’attente avant même de débuter le projet et vous pourriez vous buter devant 6 mois d’attente à prévoir.

 

L’énergie

On ne peut nier le pouvoir de la chimie humaine. Si vous vous sentez en confiance avec votre agence et que l’ambiance est relâchée et agréable, vous êtes à la bonne place. Vous devez pouvoir critiquer ouvertement et vous sentir écouté. Recherchez des gens qui vous éduquent et vulgarisent les étapes. Rappelez-vous que c’est un travail collaboratif de plusieurs semaines. Vous ne voulez pas d’une relation hostile ou froide.

 

En conclusion:

Le temps de création d’un site web dépend de plusieurs facteurs. L’ensemble du processus de la mise en ligne est personnel, complexe et doit être collaboratif. Trouvez une agence qui saura répondre à vos besoins et qui vous parle graphiquement. Commencez par magasiner les portfolios d’agences et de graphistes. Sélectionnez ensuite de 3 à 5 de vos préférés et entrez en contact avec eux pour tâter le pouls sur leur méthode, leur tempérament et leurs coûts.

Faites affaire avec des gens à l’écoute de vos besoins, qui sauront répondre à vos critères en respectant vos limites.

Combien de temps pour faire un site web?

Ces mots liens sont activés par le # qui les précède et affiche ainsi toutes les publications contenant ces mots. C’est une façon de classer le contenu, de citer des mots clés, mais encore plus c’est une façon pour votre public cible de vous trouver au travers de l’océan de contenu.

En affichant des #mots, vous participez à une conversation déjà existante dans une communauté qui partage ce genre de contenu. Vous apparaissez directement et exclusivement sur les écrans des gens qui possèdent déjà un intérêt sur votre produit ou service. Cela vous semble intéressant non? Mais comment optimiser votre utilisation des mots-clics?

Nous répondrons ci-dessous à 3 questions communes concernant les hashtags et comment les utiliser. Au-delà de mettre #chats partout, c’est un outil très pertinent pour votre entreprise lors de sa présence sur les réseaux sociaux.

Voyez comment vous pouvez faire partie de la conversation avec les #!

 

Combien de #mots dois-je mettre dans une publication?

Cela dépend du réseau social sur lequel vous faites vos publications. Certains réseaux sont conçus pour valoriser l’utilisation de # (Twitter, Instagram) et préconisent plus de # (entre 5-10). Facebook quant à lui recommande d’en utiliser seulement 1 ou 2. Au-delà du nombre, il faut que vos # soient pertinents et populaires.

Au moment d’inscrire votre #, la plupart des réseaux vont vous donner une liste avec le nombre d’abonnés. Tentez de prendre un mot qui rejoint plus de gens. Vous pouvez, de plus, découvrir quels mots sont les plus utilisés par des outils comme Allhashtag.

Faites en sorte que vos mots soient soigneusement choisis et qu’ils ont rapport avec votre publication et votre mission d’entreprise.

Comment optimiser ses #?

C’est la grande question. Comment faire en sorte que les # qu’on choisit de mettre soient les plus efficaces possibles? Il existe plusieurs façons de faire, mais en voici quelques-unes :

 

1. Utilisez l’anglais dans certaines situations.

Bon, la loi 101 ne sera pas contente et vous devez vous dire : je travaille en français, mes clients parlent français, alors ça ne donne rien de mettre des #anglais! Vous avez raison. En partie. Pendant longtemps, les # étaient majoritairement (quelque chose comme 99,9%) en anglais.Plusieurs de vos clients appartiennent probablement à des communautés où le mot est en anglais. La plupart des modes #trendy #slang #90scalled chez les plus jeunes sont en anglais (et on va se le dire, en 2022, beaucoup de jeunes sont bilingues au Québec). Beaucoup de nouvelles marques québécoises, francophones se donnent même une appellation anglophone pour plus d’étendue de vente : Goodfoods, Econofitness, SaladShop etc.

 

2. Faites ça court.

Les # plus courts fonctionnent mieux. Cela n’empêche pas qu’une fois de temps en temps, un # plus long soit super populaire, mais en général ça doit être court. Vous pouvez utiliser l’opportunité pour mettre plus de mots variés. Par exemple : #oncuisinedestartesmaisonsledimanche peut devenir #baking #tarteauxpommes #recette #dimanche #popotte. Vous allez ainsi rejoindre plusieurs communautés.

 

3. Respectez la formule.

Ne mettez pas d’abréviation ou d’anagramme (sauf si très populaire SAAQ, CEGEP, SAQ…). Pas d’accent, d’espace ou de symbole (?%$&). Je n’ai pas sacré, ce sont des symboles, on se calme .

 

 

À quoi peuvent servir les #?

1. Faire une mise en contexte.

Si vous inaugurez une journée spéciale ou une personne méconnue, vous n’avez pas toujours assez de 180 caractères pour en parler. Mettre un lien vers une page Wikipédia pourrait être une bonne idée, mais c’est long quand même. Mettre quelques hashtags de mise en contexte peut aider votre audience à s’y retrouver sans faire des phrases complètes. #resumez. Par exemple, si vous voulez inaugurer David Carson, sa mise en contexte pourrait être : #davidcarson #graphicdesigner #RayGunmagazine #90sdesign. En 4 mots, on vous a mis en contexte la carrière de M. Carson tout en connectant des pistes d’intérêt.

 

2. Se joindre à une cause.

Utilisez des hashtags populaires appartenant à des causes sociales pour faire connaître vos valeurs à votre auditoire. Vous irez ainsi chercher des gens qui pensent dans le même sens que vous et vous créerez de l’engouement émotionnel dans vos publications. Ces # sont souvent liés à une campagne et vous feront passer sur des fils de nouvelle très occupée.

 

3. Repérer des produits et services sur les réseaux.

Cette technique est un peu moins utilisée que les moteurs de recherche, mais elle fait ses preuves dans l’apparition naturelle sur les murs de vos usagers. En indiquant clairement ce que vous vendez, il y a de bonnes chances que vous vous retrouviez dans le fil de publication de quelqu’un recherchant votre produit ou service.

Exemple, vous êtes un vendeur de souffleuses. Quelqu’un qui est abonné à la page John Deer pourrait voir votre publication si vos mots clés sont : #souffleuse #tracteurs #paysagement.

 

4. Évoquer des partenariats.

Si vous faites affaire avec une autre entreprise lors d’une promotion ou que vous référez à une entreprise dans une publication, taguez-là par un # ou un @. Cela créera un lien vers leur page et stimulera des interactions d’échange. Cette entreprise pourra ensuite faire la même chose pour vous.

 

5. Apporter un ton humoristique.

Ils sont court et apportent un beau rythme adapté à l’humour. Parfois, les # n’ont pas vraiment rapport, mais ils peuvent représenter de la satire ou une émotion, un peu comme les emojis. Ils permettent d’ajouter de la personnalité et peuvent agir comme la tombée d’une blague. Exemple : Il y en a qui ont la vie facile! #chat #sieste

 

 

En conclusion, ayez du plaisir à intégrer des mots-clics dans vos publications. Ils sont là comme plus-value et peuvent réellement contribuer à l’engouement. Saviez-vous que vous pouvez même créer des hashtags personnalisés sur Hashtagify.me? Vous pouvez alors faire la promotion d’un évènement, d’un anniversaire ou d’une campagne publicitaire et mobiliser les gens à vous suivre #Grat.

Faites attention de ne pas prendre un # déjà existant ou qui pourrait être mal interprété, par exemple : un fumoir à viande qui décide de créer #jaimefumer. #outch!

hashtags

Quand vous vous rendez sur Internet pour chercher quelque chose, vous commencez par aller sur un moteur de recherche pour y entrer une requête. Cette requête : recette de macaroni au fromage par exemple comporte des mots clés : recette, macaroni et fromage. Le moteur de recherche va alors rechercher les sites comportant ces mots et vous fournir en ordre de bon référencement les sites pertinents.

Plus votre référencement est bon et plus votre vocabulaire est pertinent, plus votre site arrivera au top. Les mots clés peuvent être un mot ou groupe de mots (long tail keywords).

En utilisant des termes connexes, vous pouvez même peut-être arriver dans la recherche de quelqu’un autrement que par la voix évidente : exemple avec la recette de macaroni au fromage et les mots clés supplémentaires; idée de repas ou souper économique.

 

Les mots clés doivent être intégrés dans votre site par les étiquettes, les titres, mais aussi dans les textes. C’est là qu’il est important pour vous de bien définir ce qu’ils sont afin de les utiliser le plus souvent et organiquement possible dans votre contenu et vos articles.

 

La recherche de mots clés consiste à une liste de mots en ordre d’importance que vous ou votre programmeur devrez intégrer dans votre site. Ce sont les mots que les utilisateurs vont chercher et qui mèneront à votre site.

 

Voici 10 conseils pour faire cette liste :

1. Soyez logiques

Votre première ronde de mots devrait simplement sortir les mots en rapport avec votre domaine. Les mots évidents que vos potentiels clients utiliseraient pour vous trouver.

 

2. Anticipez les désirs de vos clients

En gardant en tête que ces mots seront utilisés par des gens qui cherchent quelque chose, vous pouvez extrapoler les besoins que vos services ou produits peuvent remplir. Par exemple, si vous vendez des poissons en porcelaine vous pourriez ajouter dans vos mots clés : collection, idée cadeau, présent original, fait main, achat local, artisanat, décoration, etc.

Vous pouvez ajouter des adjectifs, des qualités à vos mots tels qu’économique, qualité, écologique, livraison rapide, etc. Ce sont le genre de mots que les gens aiment voir dans des descriptions de page.

 

3. Répondez à un besoin.

Même si la personne ne vous cherche pas, allez la chercher en lui donnant ce que votre produit peut faire pour elle. Personne ne va écrire dans un moteur de recherche crème d’avoine s’ils ont de l’eczéma, ils vont indiquer traiter l’eczéma, voilà.

Ils ne savent souvent pas de quoi ils ont besoin et ils indiqueront leurs conditions. La plupart des gens qui cherchent quelque chose en ligne cherchent une réponse, une solution ou une action à poser. Ils vont rarement chercher directement un produit ou un ingrédient précis.

 

4. Utilisez Google Suggest.

Google Suggest vous suggèrera des mots clés de ses banques de données avec le nombre de personnes ayant effectué une requête le plus élevé. Il vous donne aussi des mots clés connexes.

 

5. Recherchez la concurrence.

Sur Internet, la concurrence est tout le monde dans votre domaine, pas seulement ceux dans votre région ou ceux que vous connaissez. Lorsque vous entrez vos mots clés sur un moteur de recherche, quel site apparait en premier? Allez sur ce site, quels sont les mots qu’ils emploient? Prenez en note ces mots, ce sont de bons mots clés.

 

6. Incluez les synonymes de vos mots clés principaux.

C’est tout. À vos dictionnaires!

 

7. Pensez à votre but.

Est-ce que votre but est que vos clients passent vous voir en magasin? Vos mots clés devraient alors contenir votre ville et votre région. Si vous voulez que les gens achètent à votre boutique, incluez à vendre, achetez, panier, livraison, boutique en ligne, etc. dans vos mots clés.

 

8. Restez concis.

N’étendez pas trop vos mots sur des choses qui décrivent plus ou moins ce que vous offrez. Cela peut faire en sorte que vos pages entrent en compétition les unes avec les autres. Par exemple si vous avez une recette de macaroni au fromage, vos mots clés peuvent être : macaroni, fromage, pâtes, recette, repas, met hivernal, économique. Cependant, cela risque d’être trop flou d’indiquer : mets américain, spaghetti, fondant ou jaune.

 

9. Regroupez vos mots clés.

Si vous avez plusieurs mots clés connexes, placez-les logiquement ensemble selon vos pages. Cela vous évitera que vos pages entrent en compétition les unes avec les autres. C’est là que les synonymes peuvent aider à varier votre contenu sans perdre la concentration de mots clés.

 

10. Utilisez Wikipédia.

Allez sur Wikipédia pour des listes de mots clés souvent recherchés ensemble. C’est, de plus, le 6e site le plus utilisé et qui ressort souvent au top des moteurs de recherche. Vous pourrez y trouver des mots connexes. Pour les gens qui possèdent une boutique, consultez des sites de boutique afin de voir quels mots clés sont associés à quels produits et pour vous inspirer pour vos descriptions de produits : Amazon et eBay entre autres.

 

 

En conclusion

Mettez-vous à la place de votre auditoire lorsque vous listez vos mots clés. Les mots servent aux moteurs de recherche et ne devraient pas représenter votre personne, vos valeurs ou les mots qui transcendent l’esprit de votre entreprise. Ils ne sont là que pour permettre Google de vous trouver dans l’immensité du Net. Alors, soyez précis, concis et informé des tendances de recherche de vos usagers.

Plusieurs autres éléments viennent s’ajouter pour aider votre référencement tel que votre hébergement, vos plugins et bien plus. Nous en parlerons prochainement dans d’autres articles à venir sur le SEO en général. En attendant, je vous laisse découvrir quel mot a le plus de synonymes avec 216 ?!  Au cas où vous devriez trouver des mots clés en lien avec ça, mais espérons pas…

Le seo et les mots cles

Aussi différent que d’écrire de la poésie versus un roman d’horreur, le web est différent de tout autre façon de rédiger. On vous donne ici la recette magique pour écrire pour le web. Allons-y!

 

1. Pensez à votre auditoire

On ne parle ici seulement de votre public cible et quel langage employer. Il est question ici de savoir comment votre auditoire va recevoir le message que vous lui envoyez. Est-ce que vos clients vont lire vos textes sur mobile? Ils n’aimeront probablement pas devoir lire l’entièreté du Seigneur des Anneaux sur votre page d’accueil. Que veulent-ils obtenir par votre site web?  Comment les référez-vous à votre site. Qu’iront-ils y chercher. Que devraient-ils y trouver? Avez-vous déjà des réseaux sociaux qui s’occupent d’une partie des choses que vous voulez dire à votre auditoire? C’est une panoplie de questions qui vous aidera à cerner ce qui poussera vos usagers à venir sur votre site et à y rester.

 

10 conseils concrets :

  1. Ne pensez pas en termes de : qu’est-ce que je peux dire sur moi? Pensez plutôt: qu’est-ce que mes clients veulent savoir sur moi? Les gens vont sur le web parce qu’ils cherchent quelque chose. Répondez à leur questionnement.
  2. Une fois votre texte écrit, relisez et coupez le MAXIMUM de texte. Enlevez tout le superflu. (Trop d’adjectifs, de mots longs, de termes scientifiques, de mots de transition, etc.) Soyez ULTRA concis! Regroupez vos idées en petits blocs qu’ils pourront scanner du regard afin de trouver ce qu’ils cherchent.
  3. Ne dites pas TOUT. Réalistement, les gens vont lire 10 peut-être 20% du contenu de votre site. Tout ce qui est des saviez-vous que, des promotions, etc. peuvent se retrouver dans une publication ou dans un blogue. Tout le superflu peut être utilisé comme contenu sur vos réseaux ou dans vos articles.
  4. Il faut écrire différemment pour le web que pour tout autre chose. Le web est axé vers poser une action : la présence de boutons, liens, icônes. Les gens s’attendent à être dirigés vers une action. Écrivez vos textes avec une action à poser en tête. Faites un plan des choses à dire et ce qu’elles devraient causé pour votre utilisateur.
  5. Regardez des sites populaires et reconnus dans votre domaine pour vous donner une idée de comment les textes ont été placés, leur longueur, les mots employés, etc. L’observation est la première étape dans la compréhension. Apprenez à reconnaitre les mauvais sites : ceux où il est difficile de lire, trouver l’information ou de faire exactement ce que vous étiez venu faire.
  6. Élaborez des champs lexicaux représentatifs de votre domaine, mais du point de vue de votre auditoire. Trouvez les mots que les gens utilisent en général pour vous retrouver : Si vous travaillez dans les thermopompes, vos clients sont peut-être en train de chercher air climatisé. Indiquez les deux. Employez toujours le vocabulaire qu’emploient vos clients. Cela les aidera à se diriger sur vos pages.
  7. Au lieu de faire des textes continus, vous pouvez utiliser des puces, des listes numérotées, des icônes avec courte description.

 

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  1. Utilisez des termes communs et universels. Ne tentez pas d’être innovateurs dans vos tournures de phrases, votre navigation, vos boutons, les descriptions de vos produits. Vous n’écrivez pas un Émile Nelligan. Restez clair : écoresponsable, local, service 24h, livraison gratuite, etc. Utilisez des verbes clairs, simples et axés vers l’action : faire, avoir, être, voir, prendre, etc.
  2. Ne vous limitez pas à du texte, les images peuvent parfois en dire autant et ajuster votre texte à vos images crée une cohérence vitale pour l’accessibilité de votre site et la compréhension.
  3. Pensez à votre texte par rapport au gabarit visuel qui vous sera fourni. Cela vous donnera une bonne idée des blocs de texte à écrire et du nombre d’informations à entrer.

2. Pensez à votre SEO

Bon, parlons-en du mausus de SEO. Le SEO fait en sorte que les gens vous voient lorsqu’ils recherchent des mots liés à votre domaine. Comment Google vous reconnait-il? En scannant les mots (visibles et invisibles) de votre site web. Bon, il fait plus que ça et votre choix de vocabulaire n’est pas la seule chose qui impacte sa capacité à vous référer, mais cet article traite de la rédaction web alors, c’est là qu’on en est…

 

Voici 10 conseils concrets pour rédiger pour votre SEO

 

  1. Votre champ lexical du point 6 précédent = vos mots clés. Ce que les gens vont chercher le plus pour vous trouver sont les mots que vous voulez employer pour aider votre référencement. Il existe des outils pour découvrir les mots les plus recherchés dans un milieu donné. Les listes de mots clés sont les mots les plus susceptibles de revenir dans une requête sur un moteur de recherche.
  2. Définissez un méta-titre précis et pertinent et répétez-le souvent dans votre texte. Surtout dans la première phrase de votre premier paragraphe.
  3. Ne négligez pas vos titres et sous-titres. Ce sont les premiers éléments scannés afin de savoir de quoi votre texte parle. Ils aident de plus à la localisation de l’information sur une page.
  4. Attirez l’attention vers vos autres pages sur votre page d’accueil. Imaginez que la madame d’accueil au magasin vous salue puis vous dirige exactement où vous avez besoin d’aller. Votre texte de page d’accueil devrait anticiper le désir des usagers et les diriger conséquemment.
  5. Gardez vos phrases courtes (65 caractères environ) vos paragraphes devraient contenir entre 300 et 500 caractères.
  6. Nommez vos photos avec une description de ce qui s’y trouve ou de la page sur laquelle elle se trouve. Cela vous aidera aussi à voir où vos images seront placées. Voir l’article : comment bien nommer ses photos?
  7. Écrivez un blogue. Haha! Vous ne pensiez pas qu’un des points serait d’écrire plus alors qu’on n’arrête pas de vous dire d’écrire moins! Un blogue est une excellente façon d’insérer plus de mots clés, des liens internes, externes, des titres, etc. C’est de plus une façon de garder un certain afflux de contenu qui renouvelle l’engouement des gens vers vos nouveaux articles. Vous pouvez de plus utiliser vos articles comme publication sur vos réseaux afin d’envoyer vos clients sur votre site. Ils peuvent servir à expliquer en détail vos techniques et ce que vous n’avez pas pu dire sur votre page d’accueil.
  8. Écrivez de façon cohérente pour stimuler votre but. Si votre but est de vendre, toute votre rédaction devrait mener les usagers à aller voir votre boutique ou vos offres.
  9. Demandez conseil et faites réviser votre texte par votre programmeur / développeur / expert SEO
  10. Utilisez les outils d’évaluation de votre SEO et réajustez votre texte en conséquence. Retenez que c’est un apprentissage continu et vous vous améliorerez sans cesse.

Conclusion

En bref, pour écrire pour le web, vous devez être en mesure de définir votre auditoire, comprendre ce qu’il viendra chercher sur votre site, concevoir un texte concis, axé sur l’action et optimiser le tout pour le SEO.  Ouf! Cela peut paraître complexe et on ne se le cachera pas, ça l’est. Mais on est là pour vous aider dans tout le processus avec des conseils, des outils, et même des formations. Au plaisir de rédiger votre site avec vous!

La rédaction web en 2 étapes (et 20 conseils concrets)